La mondialisation a aspiré les acquis de nos collectivités locales vers les multinationales. Nos richesses sont prisonnières du capitalisme sauvage.
Connexion-U et l’ACQ veillent à faire contrepoids à ce déséquilibre. Connexion-U assurera l’ordre de l’économie de proximité et l’infrastructure de l’ACQ favorisera les échanges entre usagers.
Tous, nous sommes au service de nos collectivités. De ce fait, l’ACQ n’est pas un système capitaliste. Les usagers ne peuvent pas penser en fonction d’accumuler du temps, tels qu’on nous a habitués avec l’argent. Ils apprennent à faire circuler leurs énergies en équilibre entre donner et recevoir du temps à autrui.
À l’instar du cycle de vie, l’économie de proximité circule constamment. L’usager ne peut pas s’approprier 40 heures de temps dans sa banque. Il doit les libérer sur une base régulière afin que le mouvement collectif de la richesse fortifie le tissus social. C’est pourquoi le système de l’ACQ bloque l’usager qui cherche à accumuler du temps plutôt qu’à trouver l’équilibre.
Le temps est la monnaie d’échange entre les usagers. Il repose sur l’énergie générée par chaque personne, à chaque instant. Cette énergie vitale est notre plus grande richesse et gage de qualité. Il faut apprendre à la respecter et à la faire respecter dans notre économie de proximité.
- À chacun revient la responsabilité de générer des richesses locales et d’en assurer la circulation constante dans les circuits courts de la collectivité.