Le coût de la connectivité ? Le conflit sur les antennes relais place Pittsfield au centre d’un débat national.

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Des résidents de Pittsfield aux États-Unis perdent  une longue bataille face à l’entreprise de télécommunication Verizon en vue de faire désactiver leur tour d’antennes  qui les rend malades.

Theodora Scarato, de l’Environmental Health Trust, basée dans le Wyoming, a déclaré qu’elle pensait que la décision de Pittsfield était la première fois qu’une autorité sanitaire locale ordonnait la fermeture d’une tour de téléphonie cellulaire sur la base d’effets sanitaires documentés.

L’ordonnance d’urgence a d’abord suscité un sentiment de joie chez Mme Gilardi et ses voisins, mais ce sentiment de triomphe s’est avéré de courte durée.

Mais M. Gilardi a déclaré que les coûts humains liés à l’obtention de ce niveau de service supplémentaire étaient inacceptables.
« Cela ne vaut pas une barre supplémentaire si cela signifie que des enfants sont malades dans leur propre lit », a-t-elle déclaré. « Cela ne vaut pas les coûts en termes de santé humaine ».

 

Des virus réactivés par le Covid sont traitables – Études du Dr Richard Urso

Le syndrome « Long COVID » peut être une réactivation de virus herpétiques latents dans l’organisme, comme le virus Epstein-Barr EBV), le virus de la varicelle, le virus herpétique, le cytomégalovirus, l’herpèsvirus humain et l’herpèsvirus associé au sarcome de Kaposi.

Cependant, il est important de se rappeler que les CEM peuvent également réactiver le virus Epstein-Barr, comme le démontre une étude de la NIH(Institut National de la Santé aux États-Unis).

« C’est donc un fait que les expositions aux CEM dans notre environnement ont augmenté par suite de l’expansion du sans-fil et de la 5G, et cette exposition accrue pourrait réactiver la VEB chez les gens, ce qui augmenterait  par conséquent la gravité de la COVID-19. »

La réactivation de virus à la suite des piqûres de rappel

Un grand nombre de virus latents sont réactivés  à la suite de leur piqûre de rappel contre la COVID-19, mentionne le Dr Richard Urso, ophtalmologiste, spécialiste de la conception et du traitement des médicaments et cofondateur de l’Alliance internationale des médecins et des scientifiques médicaux.

« Beaucoup de gens regardent cette longue COVID comme si c’était tous des problèmes liés au virus… Ils ne savent pas que nous assistons à cette énorme réactivation dans la famille des herpèsvirus et que nous avons des traitements pour cela. Cela a vraiment bien fonctionné ».

Urso dit que la persistance de la protéine de pointe faite à partir des injections dans différentes parties du corps interfère avec les fonctions normales du système immunitaire et cela cause des problèmes de santé.

Les cartes d’identité numériques ne sont qu’un début — les Canadiens doivent réfléchir sérieusement à ces questions.

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L’identité numérique, un projet qui se déroule en grande à l’abri des regards.

« Beaucoup de Canadiens ne sont même pas au courant des programmes d’identification numérique qui en sont à différentes phases de déploiement en Colombie-Britannique, en Alberta et en Ontario. »

Pour l’instant, l’utilisation est entièrement facultative et, comme le souligne le gouvernement, les données ne sont « PAS stockées dans une base de données centrale » et ne constituent « PAS un dispositif de suivi ». Mais ces garanties sont-elles suffisantes ? Et pendant combien de temps cela restera-t-il vrai ?

« Je ne voudrais jamais obtenir une carte d’identité numérique », a déclaré Ann Cavoukian, ancienne commissaire à la protection de la vie privée de l’Ontario, lors d’un entretien téléphonique avec le Sun.

L’AFFAIRE PATRICK PROVOST ET NICOLAS DEROME La liberté académique en péril

« Alors que l’Université Laval se présente comme une institution qui encourage la liberté académique de la profession enseignante et reconnaît qu’un débat de société est crucial pour nourrir l’analyse critique, nous avons été extrêmement surpris et déçus de constater que cette Université avait suspendu et intimidé ces professeurs suite à leurs allocutions.

L’affaire Patrick Provost et Nicolas Derome a eu l’effet d’un coup de tonnerre dans le milieu universitaire. De nombreuses voix se sont levées pour dénoncer cette situation de censure sans précédent(…) et plusieurs autres ont dénoncé ce manquement grave à la liberté académique. »

Surveillance numérique: quelles limites?

Conférence à l’université de Genève des professeurs Solange Ghernaouti et Frédéric Bernard qui brossent un portrait fort complet et réel sur le nouveau paradigme de l’économie numérique.

« La technologie de surveillance numérique, telle que la reconnaissance faciale ou le détecteur à émotion, progresse dans les régimes autoritaires mais aussi dans les démocraties, au point que l’on bascule vers des sociétés d’ultra-surveillance. Dans les démocraties, ces technologies peuvent être utilisées à des fins légitimes par des forces policières ou de lutte contre le coronavirus. Elles sont par ailleurs souvent encadrées par des limites juridiques, dans ce cas nos données seront anonymisées et leur usage reposera sur le principe du consentement (p.ex. données de l’application SwissCovid). Mais rien ne dit que ce dispositif ne perdurera pas dans le temps. Aussi, ces technologies peuvent être utilisées à d’autres fins, telles qu’une surveillance généralisée du citoyen, comme le pratique actuellement la Chine avec son système de crédit social, voire dans un but amoral, comme outil de répression politique et de violation des droits humains. Ne va-t-on pas vers des sociétés liberticides? Comment identifier les risques potentiels, actuels ou futurs et quelles sont les limites à prévoir? »